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BIOGRAPHIE :

 

 

Régis Henriot obtient en 1991 un CAP Photo au lycée Notre-Dame de la Providence à Saint-Dié-des-Vosges.

 

Le photographe voyage à travers le monde de 1995 à 1999 : Chine, Malaisie, Philippines, Inde, Mongolie, Canada, Maroc. Installé à Hong Kong, il travaille en tant qu’assistant pour des photographes de mode et de publicité.

 

 Il est Lauréat en 2000-2001 de la bourse Défi-jeunes attribuée par le Ministère de la Jeunesse et des Sports, et ouvre une galerie d’art à Epinal.

 

Depuis 2002, il se consacre uniquement à la photographie d’art, et commence ses recherches sur les matériaux détériorés et sur l’empreinte écologique. Il rejoint les associations Epin’art et Pigment T, effectue de nombreuses expositions collectives à

Epinal (Galerie du Bailly, Centre culturel, Place des arts, Eté des artistes, Centre d’art La Plomberie), puis, personnelles (Centre culturel d’Epinal, Galerie Outlow à Metz, Espace culturel L’Escalier à Lyon, Espace culturel Georges Sadoul à Saint-Dié-des-Vosges, Musée national Charles De Bruyères à Remiremont, Espace culturel Georges POMPIT’UP à Nancy).

 

Il est actuellement représenté par la Galerie Le Cadre à Epinal, et apparaît au catalogue de la Galerie Angles de vues à Boulogne- Billancourt.

 

 

 

PRESENTATION :

 

 

Après des repérages géographiques, Régis Henriot se rend sur des sites industriels  ou militaires à l’abandon afin d’y photographier des détails de matériaux, de bâtiments, ou encore de véhicules usés, rouillés, détériorés. Assemblées par paire ou par tierce, le contraste des images est ensuite numériquement modifié afin d’obtenir des coloris extrêmement saturés, et des effets de matières saisissants. Ces prise de vues proposent un voyage au cœur de la matière et nous invitent à réfléchir à l’empreinte laissée par les hommes après leurs passages. Comme si il était question de recycler ces matériaux, de faire du neuf avec du vieux, du beau avec du moche. Ce sont également des compositions graphiques et colorées faisant de toutes évidences référence à la peinture, il s’agit de photographies plasticiennes, où l’intérêt pictural se révèle plus important que le sujet photographié.

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